J’aime vraiment son nom. Le mien ne sonne pas très bien à côté.
Il faudrait peut-être que j’en change.
En plus, c’est celui de mon père.
Mais voilà, en terminant la lecture d'En attendant la fin du monde, j’ai été prise d’une journée cynique. Cynique comme on en fait peu.
Alors j’ai trouvé le titre sous la douche, le titre qu’il faut pour parler de l’état du monde.
Ce que nous laisserons aux méduses
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